مؤسسة الشرق الأوسط للنشر العلمي
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Le Street art dans son essence est une contestation et une pratique qui s’inscrit dans l’illégalité. Sa présence dans l’espace public reflète la rupture avec les circuits classiques de l’art et le désir profond de découvrir et d’expérimenter un nouveau champ artistique. Il est devenu une pratique impressionnante car cet aspect illégal et clandestin exerce une vraie attraction au Street art. Son image informelle souvent associée à l’insalubrité, mais en réalité ces œuvres sont des lieux d’attrait et d’intérêt fort même avant son institutionnalisation. Cette forme d'expression contemporaine était autrefois perçue comme un acte de vandalisme, tandis qu'à d'autres fois, elle était considérée comme une forme d'ornement permettant de donner une touche distinctive aux accessoires. Ainsi, elle devient un moyen de se distinguer des autres et de se différencier du reste de la population. Dans ce sens, le Street artiste ne suit pas le chemin de la transgression longtemps en surprenant le monde par son intérêt pour les réseaux traditionnels. Non seulement dans les musées et les galeries d’art, mais cette fois, il est allé encore plus loin lors de sa collaboration avec les maisons de la haute couture. Son œuvre devient un objet décoratif, vendable surtout avec sa présence sur les produits destinés à la consommation et la propagation de l’art digital sur le web.